Progression.

La session n'est pas des plus facile. L'autodicipline est le principale obstacle à ma réussite. Malgré ma bonne volonté et mon amour pour le projet, je m'égare facilement et angoisse régulièrement ce qui m'envoi sur la roue de la procrastination. C'est une sensation bizarre. Plus je suis en retard, plus je perd mon temps et plus le perd mon temps, plus je suis en retard...Je commence à avoir peur de mon projet, et je bloque un peu sur certaines étapes,je me dis que je dois pas sombrer du côté obscure et avancer, au moins, un petit peu au minimum, chaque jour. Sinon, c'est la mort. (oui c'est comme ça que je me sens. -_^ )

Mais comme dirait Five: Brave heart!  (bien qu'il soit lui-même assez procrastinateur ;^p)

Je me suis procuré du nouveau matériel, du papier de plus grande taille. J'avais tout tracé mon grillage préliminaire sur du 11/14, mais je m'y sentais à l'étroit. J'ai changé pour du 14/17 et recommencé le processus. Bon, c'est peut-être une perte de temps, mais je ne le regrette pas. Woa. Mais quel différence! Je vais pouvoir laisser plus de place à la souplesse de mon trait et la gestuelle. Après tout, comme dirait un de mes profs je suis une « créature de l'instinct » ;^p. Ayant changé de format de travail j'ai du me rendre à l'évidance aussi que j'utiliserais aussi beaucoup plus d'encre. Un nouveau pot d'encre, et plein de chargeur pour mon pentel brush (alias mon pinceau de paresseux ^^).

J'ai aussi retravailler l'apparence de mes deux filles. Mes professeurs trouvaient qu'elles n'étaient pas assez typée, et il est vrai qu'elles manquent peut-être un peu de sustance. J'ai aussi beaucoup progressé en dessin d'observation de visage depuis cet été et pu voir j'avais une faiblesse pour dessinée des bouches et des nez féminin différents. Parfois, on a tendance à resté enfermé dans des patterns de visage etc. Je vous monterais ça dans les jours qui vient, quand je vais numériser le tout.

Je me rend compte que j'aime beaucoup travailler au pinceau. J'aime aussi les feutres fins, mais j'ai tendance à leur faire violence un peu. Mais bon, il n'y a pas d'outil parfait. L'encrage est une étape que j'adore particulièrement. C'est quelque part dans le crayonnée,que j'ai du mal. Quand c'est important que ça soit beau, anatomiquement bien fait, la perspective etc. La composition (et aussi un peu le découpage) ce n'est pas évidant non plus, ça demande à stimuler quelques neurones qui sont paresseuses: « Non maman, je préfère resté couché et dormir plutôt que travailler. >8/  »  C'est pas comme la scénarisation ou l'idéation, que là, mon cerveau est heureux et se dit: Ça sonne comme un défi! Amenez-en des projets de scénarisation!! GWAAAAR!!

Je réaliste aussi que j'ai beaucoup d'amour pour tout ce qui est narration, dans mes cours théoriques, on parlait d'intermédialité, de narratologie, de tressage, de diégétique etc. Je ne sais pas si j'ai envie de poursuivre mes études dans ce domaine et apprendre à mieu en maîtriser le vocabulaire technique, mais j'avoue prendre beaucoup de plaisir à analyser des oeuvres et comparer les processus de narration, les tactiques utilisés par leur auteurs, les possibilités offertent par les différents médias et format proposé. 

Naturellement je n'arrête pas de le faire avec DW, comme se sont des histoires écrit par plusieurs auteurs, sur différents format et média. Comment une histoire est influencé par le fait d'être étalés sur 4 à 6 épisodes de 25 minutes plutot qu'un seul de 45 ? Qu'est-ce que cela change au niveau du rythme, des climax et cliffhanger? Comment sur le média radio, on réussi à suggérer des univers et des époques différentes, y faire des changements de lieux et de scènes? Je suis particulièrement fasciné par les audios, ils sont pratiquement l'opposé de la BD et à la fois si semblable. Si nous, nous n'avons que la vue, eux, ils n'ont que l'ouïe. C'est vraiment fascinant comment ils parviennent par leur méthodes propres à stimuler les autres sens. Ça me donne envie d'écrire pour de l'audio^^. Un jour peut-être. 

À part cela, au niveau personnelle, j'écoute beaucoup de musique de jeux vidéo un peu débile, coloré et rigolote, comme Kirby ou Katamari Damacy (coincidance avec les K?), et si la partie de mon cerveau qui s'occupe de l'aspect linguistique n'est pas requise pour une tâche, les délicieux audiobooks me font savourer pleinement la vie et mettent de la joie dans mon(mes) coeur(s) de whovian. Particulièrement les histoires avec Colin Baker (Six). C'est du petit bonheur en canne. Drôle, génial, imprévisible, attachant et aux histoires super bien écrites, J'adore ce personnage, et j'adore cet acteur. oh oui...(bon il faut que je me calme, quand je parle de Six et/ou Colin, je risque de me faire une crise de fangirlime qui pourrait s'éterniser sur plusieurs pages. Une autre fois, oui une autre fois.) Non, iiii..... non...ne doit pas parler de..... de ParisManga en fin de semaine, où des amiES franco-whovian ont eu la chance de le rencontrer et de lui remettre notre lettre collective ainsi que différents cadeaux, qu'il a chaleureusement accepté et lu la partie française à haute voix avec son accent trop mignon. Cet homme est formidable et sur plusieurs aspects, comme par exemple:////, non arrête... doit parler... de... chose sérieuse, La BD c'est sérieux. OUF! On a évité de près la crise. (parfois, j'me fais presque penser à une adolescente hystérique devant son boysband préféré, alors je parle en fait d'un septuagénaire adorable et excentrique avec des crocs au pieds XD)  

Dans mes autres cours, j'ai surtout avancé sur mon projet d'Édition multidiciplinaire, ou je dois m'inspirer d'un artiste de mon choix pour créer un genre de livre. Je me sens assez extraterreste dans ce cours. Presque tout le monde sont des gens de Design et font des truc épurés avec de la typo. Moi j'arrive avec un travail d'illustration en haut constraste à la Mike Mignola. ^^'  http://www.artofmikemignola.com/Art.

Je vous en montrerai bientôt des extraits. C'est pas trop moche jusqu'à présent.

(Ci-bas, des illus de l'auteur de BD américaine Mike Mignola